Les transports du futur
Les transports sont essentiels à la vie moderne. Ils stimulent la croissance économique, permettent aux pays d'échanger des biens et aux communautés de se rapprocher. Nous innovons pour faciliter le transport des personnes et des biens, de façon plus propre et plus efficace, dans un monde de plus en plus dense.
Les progrès réalisés en matière de mobilité au cours du siècle dernier ont contribué à la croissance économique mondiale, transformant les vies et les sociétés. Aujourd’hui, la croissance démographique et les pays émergents stimulent la demande en matière de transport.
De plus, les tendances actuelles telles que l’urbanisation et l'omniprésence d'Internet transforment la façon dont les gens et les biens se déplacent à travers le monde. D'ici 2050, le nombre de personnes vivant dans les villes pourrait doubler alors que la population mondiale passera la barre des 9 milliards, et le nombre de voitures pourrait doubler par rapport au milliard actuel.
Il est nécessaire d’améliorer le rendement énergétique et la qualité de l’air en réduisant les émissions, à la fois les rejets locaux, responsables de la pollution atmosphérique dans nos villes, et le dioxyde de carbone (CO2) qui contribue au changement climatique mondial. Nous assistons au développement d’une diversité de carburants et de motorisations : certains seront adaptés aux courts déplacements en zones urbaines, et d’autres aux longs trajets entre les villes.
Transports du futur : la voie à suivre
SHELL FUTURE TRANSPORT MP4
[Le texte apparaît]
Transports de l’avenir
La voie à suivre
[Voix off]
Les transports représentent plus d’un quart de la consommation totale d’énergie dans le monde.
[Séquence animée]
Un globe bleu et vert grandit et le mot « Aujourd’hui » s’affiche en dessous.
Une ligne se déplace à l’intérieur du globe, le transformant en un graphique circulaire avec 3 segments : l’illustration d’une voiture, celle d’une maison et celle d’une centrale électrique.
Un camion-citerne et un semi-remorque apparaissent dans le segment de la voiture.
[Voix off]
D’ici 2040, la demande mondiale en énergie devrait augmenter de 30%. Nous devons donc trouver un équilibre entre la nécessité de déplacer davantage de personnes et de marchandises, et celle de réduire les émissions de carbone.
[Séquence animée]
Le diagramme circulaire grossit ; le nombre « 2040 » et le texte « croissance anticipée de 30% de la demande d’énergie entre 2015 et 2040, selon les perspectives énergétiques mondiales 2016 de l’AIE » s’affichent en dessous.
L’illustration de la centrale électrique grossit et celle de la maison devient une mini-ville pour illustrer l’augmentation de la demande d’énergie.
Le globe disparaît de l’écran pour laisser place à l’illustration d’une voiture, d’un camion-citerne et d’un semi-remorque, avec un nuage gris à droite portant la mention « CO2 ».
Une flèche rouge se déplace vers le bas à partir du nuage et une autre vers le haut à côté de l’illustration de la voiture, du camion-citerne et du semi-remorque.
[Voix off]
À court terme, des innovations dans la conception des moteurs, des lubrifiants et des carburants peuvent contribuer à améliorer l’efficacité et à réduire les émissions des véhicules équipés de moteurs à combustion interne.
[Séquence animée]
Toute l’illustration se déplace vers le haut, hors de vue, et des pièces détachées apparaissent et s’assemblent pour former un moteur.
4 conteneurs de lubrifiants apparaissent à gauche de l’illustration du moteur.
Le récipient du haut verse du lubrifiant dans le moteur, qui s’écoule à travers les pièces du moteur.
[Voix off]
Ces moteurs devraient équiper la majorité des véhicules au cours des deux prochaines décennies.
[Séquence animée]
Les illustrations du conteneur se déplacent vers le haut, et le moteur est remplacé par une nouvelle illustration de voiture.
La voiture se trouve devant une station-service avec deux panneaux routiers, tous deux orienté vers la droite, l’un indiquant « 10 ans » et l’autre « 20 ans ».
La voiture s’éloigne de la station-service et cède la place à l’illustration suivante.
[Voix off]
À l’avenir, il faudra disposer de toutes sortes de carburants pour répondre à la demande croissante, dans un monde faiblement carboné.
[Séquence animée]
La voiture s’arrête devant une illustration représentant de la végétation poussant sur le sol avec le mot « biocarburants » au-dessus.
Une remorque est remplie de matières premières pour fabriquer des biocarburants.
La voiture se déplace ensuite vers la séquence illustrée suivante.
[Voix off]
À l’écoute de l’évolution des besoins de ses clients et de la société, Shell travaille sur différents carburants pour le transport, notamment des biocarburants et du gaz naturel liquéfié, et s’intéresse aux véhicules électriques alimentées à la fois par de l’hydrogène et des batteries.
[Séquence animée]
Une illustration se construit pour représenter un pétrolier en mer ainsi qu’un camion et un réservoir de stockage de GNL.
Les mots « gaz naturel liquéfié » s’affichent au-dessus.
La voiture avance vers la séquence illustrée suivante.
Elle passe devant une station de rechargement de voitures électriques, avec le mot « Électrique » affiché au-dessus.
La voiture poursuit sa route au-delà de la station de rechargement.
L’illustration s’agrandit pour montrer les trois illustrations précédentes, à savoir l’usine de biocarburants, le méthanier et la station de rechargement de véhicules électriques.
[Voix off]
Nous travaillons avec le gouvernement allemand et cinq entreprises pour installer un réseau national de stations de ravitaillement pour véhicules électriques à pile à hydrogène d’ici 2023.
[Séquence animée]
Une illustration du drapeau allemand apparaît sur la gauche en ondulation, et remplit tout l’écran.
Le drapeau diminue de taille et les trois couleurs se séparent.
L’illustration devient celle d’une pompe à hydrogène. Cette dernière s’éloigne et se replace dans le contour vert de la carte de l’Allemagne, aux côtés de nombreuses autres pompes à hydrogène. La date de 2023 s’affiche sous la carte.
Un réseau de lignes mobiles relie tous les binômes.
L’illustration se déplace vers le haut, et quitte le champ.
[Voix off]
Enfin, nous croyons qu’il faut obtenir la plus grande efficacité possible avec les carburants et les véhicules disponibles aujourd’hui, tout en préparant l’avenir.
[Séquence animée]
La voiture roule et s’arrête brièvement devant une station-service avant de poursuivre sa route.
La voiture change de forme et de couleur, passant du jaune au bleu.
Elle continue et s’arrête devant la maquette d’une future station-service.
La voiture s’éloigne de la station et entre dans la séquence d’illustrations suivante, représentant un avion dans le ciel, un camion-citerne traversant une étendue d’eau ainsi qu’un semi remorque.
Le logo Shell s’affiche à l’écran. La mention © Shell International 2016 figure en dessous.
Des moyens de transport plus propres
Saviez-vous que les transports représentent près de 30% de la consommation mondiale d’énergie, et environ un quart des émissions totales de CO2? Cela représente beaucoup d’énergie...
Il n’est donc pas surprenant que de plus en plus de personnes optent pour des modes de transport plus propres.
Shell investit dans des solutions faiblement carbonées pour enrichir le bouquet énergétique mondial. Cela va de la multiplication des bornes de rechargement de véhicules électriques à des carburants plus propres tels que l’hydrogène pour les transports.
L'hydrogène comme carburant d'avenir
L’hydrogène pourrait être un carburant à faible teneur en carbone important pour les transports à l’avenir. Shell participe à plusieurs initiatives mondiales visant à encourager l’adoption de l’énergie électrique à base d’hydrogène.
Gaz naturel et énergies alternatives
Le gaz naturel, l’hydrocarbure à la combustion la plus propre, pourrait également jouer un rôle important dans une mobilité plus verte.
L’utilisation du gaz naturel liquéfié (GNL) se généralise en tant que carburant, notamment pour les navires et les véhicules lourds. Il s’agit d’un gaz que l’on transforme en liquide par réfrigération, ce qui réduit de 600 fois son volume, permettant ainsi de faciliter son stockage et son transport. Le GNL est un carburant plus propre que le diesel et le fioul lourd car il produit moins de soufre, de particules et d’oxydes d’azote, contribuant ainsi à réduire les émissions de gaz à effet de serre, de la production à l’utilisation.
L’avenir des voies navigables en Europe
L’avenir des voies navigables en Europe
La Norvège, célèbre pour ses splendides fjords et son environnement préservé, est un lieu où l’avenir de l’énergie n’est déjà plus « à venir ».
Au cœur de cette tranquillité, un changement est en effet en train de s’opérer, qui pourrait avoir une incidence bien au-delà de la Norvège.
Lundi matin sur le ferry de Mastrafjord...
... une liaison très fréquentée au quotidien par les habitants de la péninsule de Stavanger.
Deux millions de personnes traversent le Boknafjord à bord de ce ferry chaque année.
Cette voie est très importante.
Il s’agit de la deuxième plus grande liaison du pays, et la population a besoin de ces ferries pour travailler.
Le navire assure 42 traversées par jour.
Aujourd’hui, le brouillard marin réduit la visibilité.
Le capitaine Vikøren doit mobiliser toutes ses compétences pour effectuer la traversée en toute sécurité.
Lorsque la visibilité est mauvaise, le radar est l’outil le plus précieux.
Tout en pilotant, vous gardez un œil sur le cap et la vitesse.
À cause des conditions météorologiques, les difficultés sont nombreuses ici.
Je vire de bord pour attaquer les vagues sous un meilleur angle, et le calme revient à bord.
Sous le pont, le Mastrafjord n’est pas un ferry ordinaire.
Il est techniquement innovant.
Le Mastrafjord est propulsé au gaz naturel liquéfié, ou GNL, refroidi à -162 degrés Celsius, ce qui le contracte 600 fois et le liquéfie pour faciliter son transport et son stockage.
Cinq prototypes de ce type de ferry ont été construits, et il s’agit d’une nouvelle technologie.
Cette nouvelle étape prouve que le monde va de l’avant.
Les puissants moteurs à gaz du ferry sont parmi les plus propres sur l’eau.
Le mécanicien du navire, Ulrik Kjerpeset, et l’ingénieur en chef, Rolf Nilsen, veillent à leur bon fonctionnement.
C’est à vous.
J’ai commencé à travailler ici il y a quatre ans.
Je ne savais pas grand-chose du GNL.
Je pense que c’est très positif.
Vous n’avez pas besoin de changer l’huile.
Elle est très propre. Elle ne noircit jamais.
Elle a l’air parfaite.
Ce soir, Rolf et Ulrik vont superviser le ravitaillement du Mastrafjord.
Dans une usine de stockage voisine, le GNL destiné au ferry est collecté pour être livré par camion.
Les navires peuvent également être ravitaillés depuis un autre bateau en mer, ou depuis une station à terre.
Le Mastrafjord a un planning serré, et la livraison de GNL par camion offre le plus de flexibilité.
Véhicule au gaz, êtes-vous prêt ?
Ulrik, es-tu prêt ?
Le ravitaillement est une opération sûre.
Rolf et Ulrik s’assurent que tout se déroule comme prévu.
Maintenant vous pouvez ouvrir 354 et 352.
Ouvrez 354 et 352.
Camion-citerne, vous êtes maintenant ouvert pour l’azote.
De la brume se forme, car l’air chaud entre en contact avec les tuyaux glacés par lesquels le GNL est pompé.
Le processus de ravitaillement dure 90 minutes.
Une fois ravitaillé, le Mastrafjord a suffisamment de carburant pour jusqu’à huit jours de navigation.
Les émissions des navires traditionnels ont généralement une concentration élevée en soufre.
Depuis 2015, l’UE impose de nouvelles limites strictes en matière de qualité de l’air.
Les propriétaires du Mastrafjord, Fjord1, se sont préparés à ce changement.
Nous nous considérons comme leader dans le domaine du GNL.
Nous avons mis en service le premier ferry GNL au monde, et aujourd’hui nous en avons 12 en service.
Globalement, c’est un pas dans la bonne direction en ce qui concerne les solutions de transport respectueuses de l’environnement.
Au centre technologique de Shell à Amsterdam, Tim Last analyse et optimise le gaz naturel brut, qui est raffiné pour obtenir le produit GNL.
Avant de produire le GNL, nous devons éliminer les composants tels que le sulfure d’hydrogène ou le CO2.
À Amsterdam, nous travaillons à l’amélioration des processus actuels et au développement de nouveaux processus pour l’avenir.
Une partie de mon travail consiste à améliorer les solvants que nous utilisons pour nettoyer le gaz naturel extrait du sous-sol.
Les solvants sont nécessaires pour optimiser le processus et rendre le gaz plus propre. Sans eux, il ne serait pas possible de liquéfier le gaz naturel.
Tim et son équipe travaillent depuis de nombreuses années sur le processus de raffinage, une recherche scientifique cruciale pour le succès du GNL.
Le GNL en tant que carburant de transport pour le secteur maritime va connaître un fort développement.
Nous nous intéressons donc aux voies navigables intérieures, aux pays baltes ainsi qu’à certaines zones côtières des États-Unis.
Ce sont les premiers à adopter des contrôles plus stricts en ce qui concerne les émissions, mais avec le temps, ces contrôles s’étendront à davantage de ports et de liaisons, et le GNL est clairement l’un des meilleurs moyens de faire face à ces contraintes environnementales.
Les avantages du GNL font des vagues dans le secteur de la navigation commerciale.
Dans le petit port de pêche d’Åkrehamn, les pêcheurs au chalut, Jørgen Runehall et Henrik Anderson, sont enthousiasmés par ce qu’ils ont entendu.
Il y a beaucoup de changements dans le domaine de la pêche et de la navigation, et nous devons sérieusement nous soucier de l’environnement.
Vous voyez par ici, les ferries commencent à utiliser le GNL, les plus récents.
Pas encore, nous avons la technologie pour les petits navires, comme les nôtres, mais peut-être que les plus gros bateaux de pêche le font, et je pense que c’est un pas dans la bonne direction.
Respectez la mer du Nord, de sorte que nous puissions vivre de cette pêche encore de nombreuses années.
Le GNL n’est pas une solution immédiate pour les petits bateaux de pêche de Jørgen et Henrik, mais il est déjà une réalité aujourd’hui, avec un fort potentiel.
L’avenir du GNL en tant que carburant de transport ne se limite pas au secteur maritime.
Il sera utilisé dans le transport routier, minier et ferroviaire, partout où la consommation de carburant est élevée et où l’on cherche à réduire les émissions.
Si nous voulons devenir l’entreprise énergétique la plus compétitive et la plus innovante au monde, il est vital pour nous de rester à l’avant-garde des nouvelles technologies.
Les besoins en énergie ne cessent d’augmenter.
Afin de préserver notre environnement unique, le monde a besoin de solutions intelligentes et efficaces.
Le GNL joue un rôle important dans cette aventure.
Notre procédé GTL (gas-to-liquids) transforme le gaz naturel en produits liquides de haute qualité, destinés à être utilisés dans les carburants et les lubrifiants. Notre gasoil GTL, par exemple, rejette moins de dioxyde de soufre, ainsi que moins d’oxydes d’azote et de particules que le diesel conventionnel à base de pétrole. Il peut servir à alimenter les poids lourds, les bus ou encore les taxis.
Des essais menés avec Airbus, Qatar Airways et Rolls Royce ont abouti à la création du GTL Jet Fuel, un carburant gaz-liquide produisant moins d’émissions de particules.
L’hydrogène et les biocarburants modernes ont le potentiel pour jouer un rôle majeur dans le futur bouquet de carburants. En Allemagne et aux États-Unis, nous disposons déjà de stations de ravitaillement pour les véhicules à pile à hydrogène, des véhicules ne rejetant aucun gaz d’échappement. Dans notre centre technologique de Houston, aux États-Unis, nous continuons à développer des biocarburants innovants à partir de plantes non alimentaires.
Entre-temps, notre joint-venture de biocarburants Raízen, au Brésil, est devenue l’un des plus grands producteurs mondiaux d’éthanol à faible taux d’émission fabriqué à partir de canne à sucre.
Accroître ensemble l’efficacité énergétique des transports
Shell a commencé dès les années 1920 à mettre au point des formules permettant de réduire la consommation de carburant. Nous employons plus de 300 scientifiques et ingénieurs dans le monde entier, qui se consacrent à la recherche et au développement (R&D) de lubrifiants et de carburants pour les véhicules, les navires et les avions.
Le développement de nouveaux carburants et moteurs nécessite une collaboration entre les fournisseurs d’énergie et les distributeurs de carburant tels que Shell, d’une part, et les constructeurs automobiles, les consommateurs, les gouvernements et les collectivités locales d’autre part. Nous devons travailler ensemble pour améliorer à l’avenir le rendement énergétique des transports routiers, aériens et maritimes, et réduire leurs émissions de CO2.
Nous travaillons déjà en étroite collaboration avec certains des plus grands constructeurs automobiles, dont BMW, Chrysler, Daimler, Honda et Hyundai. Ces collaborations ont débouché sur de nouveaux moteurs utilisant nos lubrifiants avancés pour réduire les phénomènes de friction et obtenir un meilleur rendement énergétique.
Au cours des 60 dernières années, nous nous sommes associés à Ferrari pour élaborer des carburants et des lubrifiants plus efficaces pour ses voitures de Formule 1. Ces recherches ont donné naissance aux lubrifiants Shell Helix et aux carburants Shell V-Power pour les véhicules de tourisme.
Inspirer les autres à économiser l’énergie
Nous aidons les conducteurs à faire davantage de kilomètres avec moins de carburant. Notre programme de formation à la conduite Fuel Save leur apprend à réduire jusqu’à 24% leur consommation de carburant. Les plus efficaces d’entre eux vont même jusqu’à réduire leur consommation de 30%.
Depuis 1985, l’Eco-marathon Shell met les étudiants au défi de concevoir, construire et conduire les voitures les plus économes en énergie, contribuant ainsi à sensibiliser le public à l’avenir de la mobilité, et à inciter les jeunes ingénieurs à repenser les modes de consommation énergétique.
Shell dans les transports
- Depuis plus d’un siècle, Shell innove pour aider à la mobilité des personnes et des biens à travers le monde.
- Nous possédons le plus grand réseau au monde de stations de ravitaillement à notre marque, avec quelque 43 000 stations-service dans plus de 70 pays.
- Dans le secteur de l’aviation, Shell ravitaille un appareil toutes les 12 secondes, et approvisionne en carburant près de 800 aéroports dans le monde.
- Dans le secteur maritime, nous fournissons des carburants et des lubrifiants à toutes sortes de navires, des porte-conteneurs aux bateaux de pêche, et desservons plus de 600 ports dans le monde.
- Nos usines pétrochimiques produisent les matières premières qui permettent de fabriquer du plastique et des matériaux synthétiques, utilisés entre autres dans la construction automobile.
- Enfin, nous sommes le plus grand producteur mondial de bitume raffiné recouvrant les routes et permettant de créer des infrastructures plus sûres.
En savoir plus sur l’énergie et l’innovation
Biocarburants
Shell s'engage à produire et à fournir des carburants à faible émission de carbone pour aider à réduire les émissions de carbone provenant des transports.
La transition énergétique
L’accord de Paris a envoyé un message au monde entier : le changement climatique est un problème grave que les gouvernements sont décidés à affronter. Un nouveau système énergétique est en train de voir le jour. Il va se développer au cours des décennies à venir, à des rythmes divers selon les endroits.